En termes de priorités, le climat se trouve désormais relégué loin derrière les questions de défense et d'économie que ce soit en Europe, aux États-Unis ou encore en Chine. Pourtant le dérèglement s'aggrave tandis que l'action des États ne progresse que très lentement. Pourquoi ne se préoccupe-t-on pas plus de l'avenir ? Pourquoi l'écologie, malgré son caractère universel et urgent, est aujourd'hui facteur de division, voire de guerre culturelle ?